
Une main conditionnelle, évidemment.
Une main intéressée.
Une main prête à tout lâcher si ça ne se passe pas comme elle l'entend.
Une main comme ça, un peu salope.
Mais une main quand même.
Et, même s'il n'y a pas de lien direct de cause à effet, ça fait du bien de se dire qu'on n'a pas fait la grève pour rien; que, quelque part, l'appel des étudiants, mêlé à celui du recteur, des professeurs, du conseil d'administration, des autres universités, a fini par se rendre à l'oreille la ministre.
Allez. On repart du bon pied, et pas de projet immobilier, cette fois.
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