mercredi 21 juillet 2010

Le syndrome du sablier

(ou du petit ballon de plage, ou du petit cercle qui tourne, ou de la barre de chargement)

Ils en parlaient à A.M., à Radio-Canada, ce matin (émission qui, par ailleurs, a le don de me faire sortir de mes gonds - j'y reviendrai peut-être). Il semble que ce syndrome touche une majorité d'étudiants canadiens - dixit une campagne de marketing d'Intel - et il consiste en un stress et une frustration intenses quand le petit sablier, ou l'icône indiquant qu'il faut attendre pendant que notre ordinateur travaille fort, apparaît sur l'écran. Comme je passe littéralement ma vie devant le mien, ça m'arrive assez fréquemment, surtout avec Internet en fait (parce que mon merveilleux MacBook Pro, lui, ne ralentit jamais!). Sur Tou.tv, par exemple. Ou quand une page décide de prendre 50 ans à s'afficher parce que je suis vraiment loin du routeur ou que trop de téléchargements se font en même temps.

Pour de pas devenir folle (et ne pas compulsivement réinitialiser le routeur), j'ai fini par développer des trucs. Ces temps-ci, quand j'ai envie de jeter mon ordi par la fenêtre, j'écoute le mash-up ukulele de Somewhere over the rainbow et It's a wonderful world par Israel Kamakawiwo'ole. C'est on ne peut plus calmant. Comme c'est un très gros monsieur pas très beau, je vous propose, pour la vidéo, la version de Glee (sans It's a wonderful world). Au fait, est-ce que je vous ai parlé de Glee? Cette émission est phénoménale, vraiment.



Et vous, c'est quoi votre truc contre le syndrome du sablier?

4 commentaires:

Catherine a dit…

Tiens, c'est drôle... Je passe aussi ma vie (presque) devant un ordi et je ne pense pas avoir jamais ressenti ce stress.

En tout cas, vraiment pas de façon fréquente.

Je sais que ça arrive souvent à Julien par contre. Je le sais parce que je l'entends envoyer chier son ordi en criant (oui, oui).

William a dit…

Catherine: J'ai l'impression que Julien est une toute autre personne, dans l'intimité... Il me fait peur. ;-)

Catherine a dit…

William : Depuis le temps, je pensais que tu avais appris à connaître son côté sauvage!

vincent g a dit…

Je fais ça.